Christian Jacq se serait pris de passion pour l'Égypte ancienne dès l'âge de treize ans, à la lecture des trois volumes de l'Histoire de la civilisation de l'Égypte ancienne de Jacques Pirenne.
Marié très jeune, son voyage de noces le conduit naturellement en Égypte avec sa jeune épouse, sur le site de l'antique Memphis. Son premier essai, naturellement consacré à l'Égypte, paraît dès la fin des années 1960, tandis qu'il se lance dans des études d'archéologie et d'égyptologie, qui seront couronnées par un doctorat de IIIe cycle en Sorbonne.
Il sera un temps collaborateur de la radio France Culture, coproduisant par exemple certaines émissions de la série les Chemins de la connaissance.
Parallèlement, il est pendant quelques années, directeur de l'Institut Ramsès, qui publie des transcriptions de textes égyptiens et vise à l'édification d'un fonds photographique sur l'Égypte.
Outre ses essais consacrés à l'Égypte, mais aussi à quelques domaines moins connus (héraldique, gnose), il mène une carrière parallèle d'auteur de romans policiers (sous deux pseudonymes) puis d'auteur de romans historiques (sous son vrai nom).
D'après la revue Faits et Documents, il fut vénérable de la loge maçonnique Goethe. [1]. Cette revue se baserait elle-même sur un dossier du Vrai Papier Journal publié en septembre 2000.